Il n’y aura pas de nouvelle enquête sur le comportement du député Nilüfer Gündogan. La plupart des membres de Volt sont contre une nouvelle enquête.
qui rapporte CNRC† Le parti a présenté une motion à ses membres lors d’un congrès du parti dimanche. Ils avaient jusqu’à mardi soir pour s’exprimer. Près d’un millier de membres l’ont fait.
trop lourd
Le conseil du parti a également indiqué précédemment qu’il ne souhaitait pas de nouvelle enquête. Selon la direction du parti, ce serait trop lourd pour les treize reporters. Ils ont raconté leur histoire à l’agence de recherche BING. Les journalistes sont d’avis que Gündogan, qui a grandi à Weert, s’est rendu coupable, entre autres, de coups de patte, d’intimidation et d’avances sexuelles.
Aucune coopération
Selon le NRC, le politicien ne fait pas confiance au bureau de recherche et n’a pas coopéré à l’enquête jusqu’à présent. C’est pourquoi l’enquête n’est pas encore terminée.
expulsé de la faction
Après les allégations, Gundogan a d’abord été suspendu en tant que membre du parti, puis expulsé du groupe. La députée a par la suite déposé plainte pour diffamation et diffamation contre les reporters et fait appel de sa suspension. Le juge a donné raison à elle et a donné une grosse tape sur les doigts au parti : la faction a dû la reprendre et verser une indemnité au député.
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Finalement, la direction du parti a décidé fin mars de l’exclure définitivement du groupe et de l’expulser, car Gündogan a refusé de retirer ses rapports contre les journalistes et, au contraire, allait s’étendre.