Voici comment Jeroen Rietbergen, Ali B et Marco Borsato réagissent à la décision de l’OM

Le motif de l’enquête criminelle est une diffusion de l’émission EN COLÈRE. Dans ce document, le présentateur Tim Hofman a révélé qu’il y avait eu une faute dans la populaire émission de télévision. Marco Borsato, Ali B, Jeroen Rietbergen et le réalisateur Martijn N. ont été accusés de comportement sexuellement transgressif.

« Choqué » par la décision

Jeroen est soupçonné d’une infraction sexuelle qui aurait eu lieu dans les coulisses de 2018 La voix. En tout cas, l’ancienne candidate Nienke Wijnhoven a porté plainte contre lui. Elle a dit BEAU qu’elle a été agressée par le chef d’orchestre. Jeroen se dit dans un communiqué « choqué » par la décision de l’OM.

« J’ai immédiatement admis être coupable de comportement sexuellement transgressif, j’ai exprimé mes sincères regrets, j’en ai assumé toutes les conséquences et j’ai travaillé dur sur moi-même au cours de l’année écoulée », a-t-il déclaré par l’intermédiaire de son avocat.

« Mais j’ai toujours dit que je n’avais commis aucune infraction pénale. Il n’a jamais été question de coercition, d’agression ou de viol. Le fait que le ministère public ait décidé de me poursuivre malgré tout, alors que divers cas ressortent de l’enquête qui montrent qu’il n’y a pas eu de coercition est un coup très dur et je le trouve incompréhensible », poursuit l’ancien chef de bande.

DéclarationAli B

Ali B a répondu via une déclaration sur Instagram. Le rappeur est poursuivi pour trois crimes sexuels différents, dont l’un est lié à La voix de Hollande. Il concerne des infractions sexuelles commises en 2014 et 2018. Le signalement d’une quatrième femme est abandonné.

« Je suis heureux que le ministère public ait abandonné l’affaire qui a été si largement débattue dans le EN COLÈRE-diffuser. J’ai dit dès le départ qu’aucune infraction pénale n’a été commise. L’OM est désormais d’accord avec moi. Le fait que le ministère public n’ait pas procédé à un limogeage complet me surprend énormément et semble avoir été poussé par la pression de l’opinion publique », commence Ali B.

Selon ses propres termes, il a « remué ciel et terre pour accélérer l’enquête ». Entre-temps, en consultation avec le ministère public, il a engagé des pourparlers de médiation avec les femmes qui ont porté plainte. «Ces conversations sont en cours et sont très précieuses. Nous avons demandé au ministère public d’attendre ces discussions. Il est incompréhensible qu’ils n’aient pas opté pour cela, surtout maintenant que ceux-ci seraient achevés dans un avenir prévisible.

Enfin, Ali B dit qu’il a contribué à tout et qu’il continuera à le faire à ce jour. « J’ai une confiance totale dans une décision correcte du tribunal. »