Vivre virtuellement après votre mort ? Merveilleux, mais les règles sont essentielles

Ceux qui sont déjà certains de ne pas vouloir faire un « retour » après leur décès devraient le faire consigner dans un testament, conseille l’industrie funéraire BGNU. Car les premières funérailles avec prise de parole d’un clone numérique du défunt ont déjà eu lieu. L’intelligence artificielle (IA) rend beaucoup de choses possibles, mais faut-il le vouloir ? « Cela devient difficile quand une personne en deuil ne peut pas lâcher prise. »



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