Villeneuve fait l’éloge de Max : "C’est un robot, malheur de le provoquer…"

Les applaudissements de Jacques, champion du monde de F1 en 1997 : « Je ne sais pas où tu trouves toute cette énergie mais là, il est imbattable »

De notre correspondant Mario Salvini

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cheballblog

– zeltweg (Autriche)

C’est une chose de gagner, c’en est une autre de dominer. Un troisième, encore plus dévastateur, consiste à faire ce que fait Max Verstappen. L’alarmant danger d’ennui face à des résultats de plus en plus prévisibles est toutefois contrebalancé, au moins, par l’étonnement qu’une telle supériorité monstrueuse suscite chez tout le monde, y compris ceux qui précèdent Max dans le registre d’or du Championnat du monde.





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