Plus que Pepinster, Verviers gémit d’abattement, comme si l’inondation avait porté un coup fatal à la vieille ville industrielle. Pourtant, alors que les pissenlits fleurissent dans les fissures de l’asphalte, la vie revient dans les rues grises. « Il y a six semaines, nous étions le premier café de la place du Martyr. Maintenant, il y en a six et le septième ouvre la semaine prochaine.
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Verviers, où les spéculateurs rachètent les maisons inondées jusqu’à ce que les prix remontent : « Ils vont se faire de l’argent sur le dos des sinistrés. Douloureux »
