Vera Blue aspire à un amour passé dans la ballade de « Mermaid Avenue »


Vera Blue est une auteure-compositrice-interprète particulièrement connue en Australie, son pays d’origine, où ses albums ‘This Music’ (2013) et ‘Perennial’ (2017) ont atteint de bonnes positions dans les charts. « Mercurial », le troisième album de Vera Blue, sort le 28 octobre.

L’artiste, connue pour ses tubes ‘Regular Touch’ ou ‘Hold’ et, surtout, pour ‘Rushing Back’, sa collaboration avec Flume, a une belle voix, et ses ballades le prouvent. ‘The Curse’ et ‘Mermaid Love’ sont deux qui apparaîtront dans son prochain travail.

Fini le son house-pop de ‘Regular Touch’ ou le pop uptempo de ‘Temper’ dans ces deux compositions. « The Curse » est une ballade dramatique au piano écrite pour la proéminence vocale (Vera s’est classée troisième lors de la deuxième saison de The Voice Australia). « Mermaid Avenue » est le single sorti cette semaine, et c’est la chanson du jour de vendredi.

Celia Pavey (c’est le vrai nom de Vera) livre une ballade pop qui n’aurait pas été désaccordée à un moment donné de la carrière de Lana Del Rey, mais qui sonne totalement prête pour la radio, sans que cela soit une mauvaise chose : les harmonies du refrain qu’elles ‘ re mignon, la production est ringard sans aller trop loin, et la chanson est superbement écrite.

Tout le drame de ‘Mermaid Love’ se reflète également dans une lettre qui rappelle avec nostalgie un amour qui n’a pas pu continuer. Vera chante : « Je pensais donner ton nom à mes enfants, vivre sur Mermaid Avenue, boire du champagne et admirer la vue », mais ajoute plus tard que toutes les « promesses » faites étaient des « mensonges ». La ruée vers le sucre est garantie, mais une fois par an…




ttn-fr-64