Le Stitchterbrug à Alphen ne doit pas être fermé une nuit de plus. Le levage de trois réservoirs d’huile, pesant chacun environ 50 tonnes, sur le pont s’est déroulé sans problème tard vendredi soir.
Les grands réservoirs devaient faire place à la construction d’une zone résidentielle et étaient trop grands pour pouvoir naviguer à travers l’ouverture du pont. Ils ont donc été hissés au-dessus du Stitchterbrug avec une grue solide qui se dresse sur un chevalet et placé sur un ponton. Ce ponton était prêt à partir pour Moerdijk vers 1h du matin, car après quelques heures le travail était déjà fait.
« Ce n’est rien de spécial pour nous, c’est allé encore plus vite que prévu. Cela fait gagner du temps que ces réservoirs avaient déjà été placés vendredi dans la journée sur le site d’un magasin de sports nautiques précédemment démoli juste à côté du pont. Pour le des dizaines de téléspectateurs qui étaient restés éveillés, c’était je suis sûr que c’est une chose spectaculaire à dire, mais pour nous, c’est franchement un tarif quotidien », déclare Frans de Boer de la société de levage Hebo.
Pont Juliana
La commune d’Alphen et la province de Hollande-Méridionale ont dû autoriser les travaux de levage. Bien qu’il ait été simple selon De Boer, un tel travail est sensible à Alphen, car en 2015, il a terriblement mal tourné avec le levage d’un nouveau tablier de pont au Julianabrug. Le pont et les grues sont tombés sur les maisons et les magasins. Il n’y a pas eu de victimes, mais pendant des mois, cela a fait des ravages dans le centre-ville d’Alphen. Après cela, y compris après examen de la Conseil de sécurité néerlandaisil a été convenu que désormais les habitants seraient évacués à emplois à risque.
Était-ce nécessaire ? Alphen fait référence à la province. Un porte-parole de Hollande-Méridionale rapporte : « Nous avons dit au client qu’il devait réfléchir à l’opportunité de laisser les riverains dormir ailleurs. Nous ne pouvons pas simplement imposer cela. informer les habitants de ce qu’ils allaient faire. »
Le client de Hebo, la société Indumove, s’est demandé s’il ne fallait pas proposer aux riverains du Straatterbrug de dormir ailleurs. Mais au final ça ne s’est pas fait. « Il n’y a pas de maisons dans un cercle de 45 mètres autour du chevalet et nous ne pensons donc pas qu’il y ait eu de risque », a déclaré un porte-parole de l’entreprise.
Bert Boeters de l’association d’habitants Onder de Hefbrug n’a pas non plus considéré l’évacuation nécessaire. « Ces gars-là savent ce qu’ils font. Cet argent est énorme, nous avions confiance en lui. Il n’a même pas été demandé si les gens voulaient retirer leurs bateaux des environs du pont. »
Le chevalet qui se trouvait maintenant au Stitchterbrug peut soulever un maximum de 300 tonnes. Le même chevalet de la société de levage Hebo a été impliqué dans le ascenseurs depuis le tablier du pont et les grues après la chute susmentionnée du pont Juliana, début août 2015.
Ce n’était d’ailleurs pas la première fois que les silos de stockage étaient déplacés. Ils ont été construits en 1960 et se sont beaucoup déplacés le long du Straatterweg il y a des années.
Le pont Stitchter sera également remplacé bientôt. La province de Hollande méridionale veut en faire un pont permanent, mais cette intention se heurte à la résistance des entreprises qui dépendent de la navigation sur l’Oude Rijn. La province le serait encore cette année venir avec un plan, comme indiqué précédemment. L’ancien plan est parti à la poubelle, car le budget approuvé par le Conseil provincial serait dépassé de plusieurs millions d’euros.