Aujourd’hui, la Flandre et Bruxelles comptent trente maisons OverKop. Ce sont des lieux où les jeunes peuvent facilement entrer pour participer à des activités de loisirs et où ils peuvent trouver une oreille attentive. En proposant désormais également des entretiens individuels ou en groupe avec un psychologue, les ministres veulent permettre de détecter plus rapidement les problèmes afin de pouvoir aider plus rapidement les jeunes.
Les maisons OverKop ne sont qu’un exemple des établissements flamands dans lesquels Vandenbroucke et Crevits souhaitent renforcer l’offre de soins psychologiques destinés aux jeunes. Douze conseillers de crise sont également déployés, répartis dans les provinces flamandes. Ils doivent contribuer à prévenir les situations de crise au sein des familles.
Enfin, ils investissent ensemble dans le renforcement de l’offre résidentielle de crise pour les enfants et les jeunes ayant des besoins de soins complexes. Il s’agit d’un maximum de 30 places de crise, dont quinze en psychiatrie de l’enfant et de la jeunesse et quinze au sein d’établissements d’accueil de la jeunesse ou de VAPH (Agence flamande pour les personnes handicapées).