Le gouvernement et la société énergétique Engie discutent depuis un certain temps des coûts de démantèlement des centrales électriques. Van der Straeten pense que les aspects techniques et les coûts énormes à l’avenir devraient être inclus dans les projets dès le départ. Cela éviterait des distorsions de concurrence. Le ministre souhaite que la législation soit harmonisée à l’échelle internationale.
Plus de 420 réacteurs nucléaires sont actuellement en cours de démantèlement dans le monde. En Belgique, les deux premiers réacteurs ont été fermés en octobre 2022 et février 2023.
Selon Van der Straeten, le démantèlement est « le projet le plus coûteux, le plus long et le plus délicat » de notre pays. « Outre des défis majeurs en termes de sécurité, cela apporte également des opportunités, comme l’accès de nos entreprises belges à ce marché mondial », a déclaré le ministre.