Vaccination obligatoire prolongée : les tournois américains à risque pour Djokovic

Les autorités américaines ont confirmé jusqu’au 10 avril l’arrêt à ceux qui n’ont pas été vaccinés, comme le Serbe. Avant cette date, les Masters 1000 d’Indian Wells et de Miami sont joués

Nouveaux ennuis à venir pour Novak Djokovic. De retour en Australie après le chaos de l’an dernier avec beaucoup de visas révoqués et d’expulsions, le Serbe pourrait à nouveau rater Indian Wells et Miami, les deux premiers 1000 de la saison. Et toujours pour la même raison : le vaccin Covid. En effet, les autorités américaines de la Transport Security Administration (TSA) ont prolongé jusqu’au 10 avril l’obligation de se faire vacciner contre le virus pour les citoyens non américains qui ont l’intention d’entrer dans le pays.

alarme chine

Tout cela en raison de l’alarme venant de Chine, où les infections semblent actuellement hors de contrôle en raison de la variante Omicron et des ouvertures (après plus de 2 ans de confinement continu). Nous voulons éviter “d’importer” une nouvelle variante, et donc partout dans le monde, notamment en Amérique du Nord et en Europe, les contrôles ont été réactivés notamment dans les aéroports, avec des tests et des certificats de vaccination. Aux États-Unis, entre autres, l’attention est revenue très haut pour l’explosion de la sous-variante dite Gryphon, dont la diffusion s’est envolée le mois dernier pour être responsable de 41% des cas. Dans ces circonstances, Djokovic, qui a toujours refusé de se faire vacciner jusqu’à présent, n’a pu disputer ni le Masters 1000 d’Indian Wells, qui débute le 6 mars, ni le suivant à Miami, qui débutera le 20 du même mois. .

comme en 2021

En effet, l’ancien numéro un mondial serbe n’a pas pu entrer aux États-Unis, comme cela lui était déjà arrivé en 2021, lorsqu’il a été contraint non seulement de rater Indian Wells et Miami, mais aussi l’été 1000 (à Cincinnati et au Canada) et surtout l’US Open. Il est encore trop tôt pour être sûr de l’absence du Serbe, dont le cas a toujours été débattu aux États-Unis, avec de nombreuses défenses de collègues et aussi de la zone républicaine, mais ce qui est sûr, c’est que pour Nole un autre problème important pour son très période de pandémie troublée.



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