Alors que les champs rétrécissent, la sécheresse extrême n’affecte pas la récolte dans la forêt alimentaire. Toutes sortes de gourmandises y poussent, comme les noix, les baies et les tubercules, mais aussi des espèces plus exotiques comme le poirier des sables et les agrumes. Compte tenu du réchauffement climatique, est-il payant pour nos agriculteurs de passer progressivement à cette forme d’agriculture ? Deux experts expliquent le pour et le contre.



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