Une femme de 58 ans a « traqué David Beckham » et « a ciblé sa fille Harper à l’école »


UNE FEMME aurait traqué David Beckham et aurait même ciblé sa jeune fille Harper à l’école.

Sharon Bell, 58 ans, est accusée d’avoir harcelé la légende de Manchester United en lui envoyant une série de lettres et en tentant à plusieurs reprises de le contacter.

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La femme aurait harcelé Becks et s’est même présentée à l’école de HarperCrédit : Reuters

On dit même qu’elle s’est présentée à l’école de la fille de dix ans de l’as du foot, Harper, dans le but de la rencontrer.

La femme de 58 ans a maintenant été accusée de harcèlement après qu’elle se serait également rendue au domicile des Beckham dans l’ouest de Londres.

Bell a été frappé d’une ordonnance de harcèlement provisoire en décembre de l’année dernière.

Un magistrat lui a interdit d’approcher ou d’envoyer des messages à Beckham, à sa femme Victoria ou à l’un des enfants du couple.

Elle a également été interdite de se trouver à moins de 500 mètres du Cotswolds Mansion de l’ancien milieu de terrain anglais, de leur propriété londonienne et de l’école Harper.

La police métropolitaine a accusé Bell d’avoir commis des « actes associés au harcèlement ».

Ils ont allégué qu’elle avait contacté les Beckham dès 2016, affirmant être la mère de l’un des enfants.

Selon l’accusation pénale désormais portée contre elle, Bell est accusée d’avoir « poursuivi un tribunal de conduite qui équivalait au harcèlement de David Beckham ».

Le père de quatre enfants aurait reçu une lettre de Bell dans l’Oxfordshire le 9 juillet 2021 et une deuxième lettre à son domicile de Londres en septembre.

L’accusation se lit comme suit : « Vous avez assisté à cette adresse.

« Le 6 octobre 2021, il a reçu une lettre de votre part à son adresse de Londres, et le 18 novembre 2021, vous vous êtes rendu à l’adresse de l’école de la fille de M. Beckham et avez tenté de la voir. »

Bell, de Watford, doit comparaître devant le tribunal de première instance de Westminster le 28 mars pour faire face aux accusations.

Elle n’a pas encore plaidé coupable à l’allégation de harcèlement sans peur, alarme ou détresse.



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