Une femme à Roermond tuée par un harceleur qui s’est suicidé

La police enquête toujours sur ce qui a conduit à l’incident. Par exemple, il est examiné depuis combien de temps l’homme traque la femme et si elle l’a signalé. Un porte-parole de la police n’a pas pu dire grand-chose à ce sujet jeudi après-midi. « L’enquête est toujours en cours. » Bien que le suspect potentiel soit décédé des suites de la fusillade, l’enquête se poursuit toujours au profit des proches et pour en tirer des leçons eux-mêmes, a déclaré le porte-parole de la police. « Nous voulons savoir ce qui se passe », a-t-il déclaré.

Les publications sur les réseaux sociaux montrent que la femme se sentait menacée depuis un certain temps par l’homme, qui la traquait depuis qu’elle avait récemment mis fin à une relation avec lui. Dans les semaines qui ont précédé sa mort, la femme a dit à des amis qu’elle avait peur que l’homme lui fasse quelque chose.

La police a reçu un rapport mercredi soir vers 18h30 selon lequel quelqu’un dans une maison du château Hillenraedtstraat à Roermond serait suicidaire. Lorsque les agents sont arrivés, ils ont entendu des coups de feu à l’intérieur de la maison et ont appelé des renforts. Une fois à l’intérieur, les agents ont trouvé les deux corps du résident et de l’homme. Personne d’autre n’était dans la maison. Personne d’autre n’a été impliqué dans la fusillade, a indiqué la police.

Terrible nouvelle

La maire Rianne Donders-de Leest a été choquée jeudi par la « terrible nouvelle ». Après la fusillade de mercredi, elle s’est entretenue avec le personnel d’urgence de la maison. Dans un communiqué publié jeudi, elle a exprimé sa plus profonde sympathie à tous les proches. «Nous comprenons que cela a également un impact sur les résidents locaux», écrit-elle. « Nous faisons un état des lieux avec les partenaires du quartier si, et si oui lesquels, une aide est nécessaire. »

La fusillade dans la maison du Donderberg a provoqué de nombreuses réactions dans le quartier et sur les réseaux sociaux. Après la fusillade, de nombreux riverains se sont rassemblés autour des barrières de police mercredi soir. Certaines personnes ont pleuré. Les agents ont reçu une assistance aux victimes au poste de police après leur déploiement.



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