La semaine dernière, le ministère public a décidé qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves pour poursuivre en justice les six suspects néerlandais pour la possible tentative d’enlèvement de Vincent Van Quickenborne il y a deux ans.
L’avocat de Van Quickenborne n’était pas d’accord avec cette affirmation et a demandé un complément d’enquête. Avec succès.