L’avocat italien du touriste, Alexandro Maria Tirelli, espère que son client pourra éviter la punition la plus sévère grâce à la longue lettre d’excuses. « Ce garçon est le prototype de l’étranger qui croit légèrement que tout est permis en Italie, même le genre d’acte qui serait sévèrement puni dans son propre pays », dit-il.
Un touriste russe qui a également gratté quelque chose dans le mur du Colisée il y a quelques années a été condamné à une amende de 20 000 euros, selon l’agence de presse Belga.