Une question qui se pose est pourquoi le conseil de la prison a décidé de ne pas organiser la surveillance d’un homme toxicomane et violent lors d’une visite à l’hôpital. Une porte-parole de la prison parle d’une “évaluation réfléchie des risques”, mais ne veut pas s’expliquer davantage. Elle ne veut pas non plus dire quoi que ce soit sur ces considérations au sens général.