Un prisonnier réfugié purge sa peine pour torture

Une question qui se pose est pourquoi le conseil de la prison a décidé de ne pas organiser la surveillance d’un homme toxicomane et violent lors d’une visite à l’hôpital. Une porte-parole de la prison parle d’une « évaluation réfléchie des risques », mais ne veut pas s’expliquer davantage. Elle ne veut pas non plus dire quoi que ce soit sur ces considérations au sens général.



ttn-fr-44