Les critiques sur l’approche face à la catastrophe naturelle au Maroc se multiplient. Le royaume autorise l’aide étrangère à un rythme lent, alors que des dizaines de villages de montagne sont toujours privés d’aide. Cela conduit à des situations dégradantes, comme le constate également le politologue Fouad Gandoul – Limbourgeois d’origine marocaine. « Le Maroc est à la traîne et cette approche lente coûte des vies supplémentaires. »
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Un politologue d’origine marocaine à propos de la lenteur de l’aide : « Dans les villages de montagne, les habitants creusent eux-mêmes des fosses communes »
