Un peu plus de la moitié de la Drenthe contre l’arrivée forcée à azc

Un peu plus de la moitié des habitants de Drenthe s’opposent à l’arrivée forcée d’un centre pour demandeurs d’asile dans leur propre commune, si le gouvernement le décide. Ce n’est qu’en Zélande et dans le Limbourg que la résistance est encore plus grande. C’est ce qui ressort d’une enquête menée par Het Kieskompas auprès de 9 000 Néerlandais.

Si une municipalité persiste à refuser d’adapter la destination d’un bâtiment pouvant fonctionner comme centre pour demandeurs d’asile, le cabinet peut passer outre la municipalité lors de la désignation des lieux d’accueil des demandeurs d’asile. Cela s’est produit pour la première fois au début du mois d’août, lorsque le gouvernement a décidé de créer un centre pour demandeurs d’asile à Albergen dans la Twente. Ce serait une erreur pour la majorité des Drenthe.

Parmi les Drenthe interrogés, 51,7 % ne voient pas de centre pour demandeurs d’asile forcés dans leur commune. En revanche, 41,7% des répondants n’y voient aucune objection. Les autres (6,6 %) sont neutres ou n’ont pas d’opinion.

La plus grande résistance à un centre pour demandeurs d’asile forcés existe en Zélande (57,5 %) et dans le Limbourg (53 %). En Frise, les résidents ont relativement moins de difficultés avec cela. 34,7 % des participants frisons se disent contre. À l’échelle nationale, une moyenne de 44 pour cent est contre cela.



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