Un parcours vélo à 50 000 euros, une ligne de vêtements et sa propre boutique : ‘Vive le vélo’ fait sonner de plus en plus fort la caisse enregistreuse


Depuis ce week-end, les fans de Vive le vélo mettre leur amour pour le programme en pratique. Six itinéraires cyclables ont été tracés dans et autour de Diksmuide, où les amateurs de sport sont traités sur leur smartphone par Karl Vannieuwkerke avec des textes et des explications sur l’histoire locale du cyclisme et les curiosités le long de l’itinéraire. Un moyen idéal pour faire bouger les gens et en même temps donner de la nourriture à la serre.

Car la véloroute rapporte pas mal d’argent à la VRT et à Karl Vannieuwkerke qui, en tant que créateur du programme, perçoit également une partie des revenus. La ville de Diksmuide et Westtoer paient ensemble 50 000 euros pour la marque Vive le vélo à relier aux pistes cyclables jusqu’à fin 2023. De la vente des cartes vélo, qui coûtent 10 euros chacune, un autre tiers revient à la VRT et à Vannieuwkerke. Aucune des parties ne veut donner plus d’informations sur la façon dont ce revenu est réparti entre les deux parties. « Ce sont des informations confidentielles », dit-on à la VRT.

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Aussi la ligne de vêtements et le Vive le véloles accessoires sonnent à la caisse enregistreuse. Certes, depuis quelques mois, le premier fonctionnaire Vive le vélomagasin phare ouvert. Une boutique de 220 mètres carrés où à côté de la Vive le véloligne de vêtements, la table et la lampe du programme peuvent également être admirées. Pas par hasard à Diksmuide, le port d’attache de Vannieuwkerke.

Mais les ambitions de Vive le vélo s’étendre bien plus loin que le Westhoek. De nombreux autres itinéraires cyclables sont déjà pensés à voix haute, dans tout le pays. Et sous le Vive le vélodrapeau, encore plus d’initiatives commerciales seront développées. « En tant que diffuseur public, nous devons financer nous-mêmes 40% de notre budget », indique-t-on à la VRT. « Déployer des activités commerciales autour de nos programmes est une façon d’y parvenir. »

Vannieuwkerke

Juste ça Vive le vélo venir en vue a du sens, dit le spécialiste du marketing Fons Van Dyck. « C’est simplement une marque qui touche un public très large et très large. » En développant toutes sortes de merchandising autour de cela, la VRT suit en fait l’exemple d’entreprises comme Disney et, plus près de chez nous, Studio 100, explique Van Dyck. « Ils ont démontré pendant des années comment vous pouvez générer des revenus supplémentaires sur la base d’un programme télévisé. »

En jouant Vive le vélo en tant que marque peut être logique et intelligent d’un point de vue marketing, mais tout le monde n’est pas aussi enthousiaste. Pol Deltour, secrétaire de l’Association flamande des journalistes (VVJ), par exemple. Il se pose des questions sur cette stratégie commerciale, et notamment sur le rôle de Vannieuwkerke dans celle-ci. Parce qu’un cuisinier comme Jeroen Meus est le visage des activités commerciales autour Nourriture quotidienne n’est pas un problème, mais est-ce aussi le cas lorsqu’un journaliste sportif comme Vannieuwkerke fait de même ? « Je pense que c’est un problème dans le journalisme », dit Deltour. « En tant que journaliste professionnel, vous n’êtes pas autorisé à vous livrer à des activités secondaires qui compromettent votre objectivité. quel tour Vive le vélo arrive, il reste toujours en équilibre à la frontière.

Deltour souligne que Vannieuwkerke n’est pas membre du VVJ et n’a donc pas demandé la reconnaissance officielle en tant que journaliste professionnel. « Mais peut-être que la VRT devrait réfléchir aux différents rôles de Vannieuwkerke. » Un exercice de réflexion qui a déjà été fait, assure le porte-parole Bob Vermeir. « Quand cela vient à Vive le vélo va, le rôle de Karl est clair. C’est un présentateur, pas un journaliste. Il n’y a donc pas de problème d’un point de vue éthique.



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