Un jour de repos par mois dans les moments les plus douloureux du cycle menstruel. Qu’en penses-tu?


tun Usine française de meubles il a commencé un essai d’un an: permettra à ses employés de profiter de un jour de repos rémunéré par mois dans les moments les plus douloureux du cycle menstruel. Cette position fait débat. Et ce n’est pas le seul pays européen vouloir traiter ce problème.

Cycle menstruel et travail : la décision de la société Louis

Louis est une fabrique de meubles à Labège, près de Toulouse. Depuis le 8 mars dernier c’est une des premières entreprises à garantir ce congé à ses salariés pas encore codifié dans le droit du travail. Il s’agit d’une mesure d’un an (encore en phase expérimentale) qui il implique les huit employées (il y a neuf hommes).

Pourquoi cette décision ? Il l’a expliqué à France Bleu le directeur général de l’entreprise, Thomas Devineaux: « Les employés ne doivent pas produire pas de certificat médical et il n’y a pas besoin d’autorisations. En cas de règles douloureuses informez simplement le responsable“.

Et encore : « Donc on travaille dans un climat de flexibilité et nous évitons les événements inattendus pendant la fabrication. Il est important qu’ils existent sur le lieu de travail confiance et bien-être. Ce faisant, nous espérons inciter d’autres entreprises à suivre notre exemple ».

Le débat en Espagne : trois à cinq jours d’arrêt

Mais il n’y a pas que la France. En effet, ces dernières semaines en Espagne, un nouveau projet de loi sur l’avortement est en discussion (permettrait d’interrompre la grossesse à partir à partir de seize sans autorisation parentale).

Dans cette proposition (fortement soutenue par le parti de gauche Podémos) A été déposé un article droit en congé menstruel.

Menstruations et coupes : les 10 mythes sur le cycle

Le gouvernement évalue donc la possibilité de introduire des permis de travail de trois à cinq jours pour celles qui souffrent de “douleurs invalidantes” au cours de leur cycle menstruel.

La situation en Italie ? Cela nous ramène à 2016

Dans notre pays, la seule proposition en la matière est s’arrête en 2016. En effet, cette année-là, certains députés du Parti démocrate ont présenté à la Chambre une facture pour la mise en place d’un congé (de maximum trois jours par mois) pour les femmes souffrant de dysménorée.

En fait, le projet de loi est encore debout. Et ça ne se démarque pas pas de nouvelles à ce sujet.

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