Un homme traque son ex-petite amie et se met un pistolet à plomb sur la tête

Début 2022, un homme de 22 ans de la commune de Midden-Drenthe ne pouvait pas accepter que sa relation intermittente avec une femme de Beilen, de trois ans sa cadette, soit désormais vraiment terminée. . Pour traque envers son ex-compagne, voies de fait, détention d’armes interdite et menaces, il a été condamné à 180 heures de travaux d’intérêt général, assortis d’une peine de trois mois de prison avec sursis.

L’homme a été arrêté en mars 2022. Son ex-compagne avait porté plainte contre lui. Elle a vécu dans la peur de la mort ces deux derniers mois. Elle a reçu d’innombrables messages de l’homme, de plus en plus grossiers et menaçants. Sa famille, dont sa sœur cadette, a également reçu des messages similaires.

Lors d’une fête au centre équestre, l’un des amis de la femme a été touché à la tête. Le suspect pensait qu’il pourrait être le nouvel ami. Lorsque le nouvel ami présumé a également déclaré : « Soyez normal, homme, laissez-la partir », quelque chose s’est brisé chez le suspect. Il s’est déchaîné.

Lorsque le suspect coupe la route à son ex-petite amie avec sa voiture sur la piste cyclable le 5 mars de l’année dernière, en sort et lui met un pistolet à plomb sur la tête, cela suffit à la femme. « Si vous voulez la paix, vous l’obtenez, ici et maintenant », a déclaré l’homme, le pistolet pointé sur la tempe. La femme a pris cela comme une menace sérieuse et s’est adressée avec crainte à la police.

Après son arrestation, l’homme s’est vu imposer une interdiction de contact et de localisation et a dû porter un bracelet à la cheville. Cette période est désormais terminée. Au cours de l’audience, il s’est avéré qu’il s’était conformé à ses obligations et que la famille avait enfin trouvé la paix. La manière dont il a tenté de la contacter a eu un impact majeur sur la victime et sa famille, a indiqué le procureur.

Le suspect a alors déclaré qu’il n’avait plus l’intention de rendre visite à son ex-petite amie. Pour s’en assurer, le procureur a requis une nouvelle interdiction de contact et de localisation pour trois ans. Le tribunal rendra sa décision le 12 octobre.



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