Un homme doit mettre le feu à un bungalow de vacances et payer 20 mois de prison

Un homme de 59 ans de Schoonoord a été condamné à vingt mois de prison pour avoir incendié son bungalow de vacances à Schoonoord. L’homme a allumé un incendie le 14 octobre 2021 après avoir d’abord aspergé l’endroit d’essence. La peine est égale à l’exigence du ministère public (OM).

L’homme avait un conflit avec le nouveau propriétaire de la propriété. Le locataire a dû quitter l’immeuble. Il loue le logement depuis 2008. Par pure émotion, l’homme a mis le feu aux lieux. Il n’a pas pensé aux conséquences. Le feu était grand. Les pompiers ont laissé tout brûler de manière contrôlée et il ne restait plus grand-chose du bâtiment et de son contenu.

L’incendie criminel est une infraction très grave, a déclaré le juge. Le feu peut facilement se propager à d’autres bâtiments ou arbres. Cela crée des sentiments de peur et d’insécurité pour les résidents locaux. Le juge blâme l’homme pour cela. De plus, le Schoonoorder a déjà été reconnu coupable d’incendie criminel. Même si c’était il y a longtemps : en 2007.

L’homme a subi un examen psychologique. Les experts soupçonnent des problèmes de personnalité dans le domaine de la paranoïa et de la schizophrénie. Cependant, un trouble mental n’a pas été établi. Et donc aucune déclaration ne peut être faite sur la responsabilité de l’homme.

Des semaines avant l’incendie, le Schoonoorder a signalé la destruction de ses fenêtres et des menaces. L’homme a interprété cela comme du harcèlement et de l’intimidation. Peu avant l’incident, un conteneur a été garé devant la maison par le nouveau propriétaire. Le juge peut imaginer que l’homme s’est senti intimidé et craintif à cause de cela.

Dans la punition, le juge a tenu compte du fait que le Schoonoorder avait perdu sa maison à cause de l’incendie et avait dû abandonner son chien. Une admission clinique, telle que conseillée par le service de probation, ne convient pas à l’homme. Cet avis n’a donc pas été retenu par le tribunal.



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