Un expert en cybercriminalité appelle à ce que chaque chaîne de jus soit signalée : « Dans le monde numérique, il n’est plus possible de fuir. Cela a déjà provoqué des drames »

Que peut-on faire contre les chaînes de potins anonymes dans lesquelles les intimidateurs dénoncent les adolescents vulnérables ? Pas grand-chose en matière de droit pénal, mais heureusement, la procureure Catherine Van De Heyning – en tant que professeur également spécialisée dans la cybercriminalité – voit encore des opportunités pour réprimer le phénomène. « Les signes se manifestent lorsqu’un adolescent n’aime plus aller à l’école ou se retire de la famille. »



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