Un employé d’Ikea ​​a été injustement licencié pour un bon d’alimentation de 2,50 €

L’homme travaillait en équipe du dimanche, pour lequel Ikea fournit un chèque-repas d’une valeur de 2,50 €. Cela a été communiqué dans une newsletter. Auparavant, les bons étaient distribués, mais plus tard, il a été décidé que les employés devaient les récupérer à la réception du personnel. Cependant, l’homme a sorti un reçu à 12h00 et à 16h00.

Confronté à cela, l’employé a nié. Cependant, l’incident a été filmé puis montré à l’homme. L’homme a alors affirmé qu’il avait obtenu le deuxième reçu pour un collègue. Cependant, il a par la suite nié cela. Le collecteur de coupons a alors été licencié. Il est ensuite allé au tribunal.

Le juge reconnaît que l’homme licencié raconte une histoire incohérente, mais trouve toujours en sa faveur. Il a jugé qu’il n’y avait pas de raison urgente de licenciement immédiat. Pour ce faire, il doit être parfaitement clair que l’obtention de plus d’un récépissé entraînera un licenciement immédiat.

Cependant, il ne peut être établi que l’employé a lu la newsletter, ni que les employés ne sont pas autorisés à collecter des reçus les uns pour les autres. Le licenciement était donc une sanction trop sévère. Le licenciement a été annulé, obligeant Ikea à continuer de payer le salaire de l’employé pendant quatre mois. Ikea n’a pas à renouveler le contrat par la suite, car la relation de travail est interrompue.



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