Un élève sur quatre dans l’enseignement maternel et primaire parle une autre langue que le néerlandais à la maison

Au total, il existe quatre « caractéristiques des élèves » qui déterminent le profil social d’une école. Non seulement la langue parlée à la maison, mais aussi le nombre d’enfants qui reçoivent une allocation scolaire, la proportion qui vit dans un quartier fortement défavorisé en matière d’éducation et le nombre qui ont une mère peu scolarisée.

L’année dernière, 37% des enfants d’âge préscolaire ont reçu une allocation scolaire, 27% avaient une langue maternelle non néerlandaise, 20% avaient une mère peu instruite et 26% vivaient dans un quartier très défavorisé sur le plan éducatif. Ces pourcentages étaient à peu près les mêmes dans l’enseignement primaire. Par exemple, 39 % recevaient une allocation scolaire et 24 % avaient une langue maternelle autre que le néerlandais. Le même pourcentage vivait dans un quartier très défavorisé en matière d’éducation et 21 % des élèves avaient une mère peu instruite.

Le nombre d’élèves ayant une langue maternelle autre que le néerlandais a considérablement augmenté depuis 2012-2013. La part des bénéficiaires d’une allocation scolaire est également remarquablement plus élevée qu’auparavant. L’explication en est que l’allocation scolaire a remplacé l’allocation scolaire depuis 2019-2020 et fait partie du nouveau paquet de croissance. Ensuite, les critères de sélection ont été élargis et la procédure d’attribution adaptée.

VOIR. Le ministre flamand de l’Éducation Ben Weyts (N-VA) a été critiqué en début de semaine après avoir déclaré vouloir imposer une sanction financière aux parents de tout-petits qui parlent mal le néerlandais



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