Dans une réponse téléphonique à notre rédaction, le dentiste précise qu’il « ne fait aucun commentaire en raison de la confidentialité de la recherche ».
Son avocat trouve également dommage que l’affaire soit devenue publique alors que l’enquête est toujours en cours. Il y aura une analyse ADN du bordereau, dit-il. Il faudra pour cela déterminer si le dentiste s’est glissé ou non dans la glissade avec ses mains.