Le conducteur présumé d’un camion texan dans lequel des dizaines de migrants morts ont été retrouvés lundi aurait été sous l’emprise de méthamphétamine lorsque la police l’a retrouvé. C’est ce que dit Henry Cuellar, le représentant démocrate du district qui comprend la partie orientale de San Antonio. Cuellar fonde cela sur des documents juridiques qu’il a vus. La méthamphétamine, ou « méthamphétamine », est une drogue synthétique puissante qui influence fortement le comportement de l’utilisateur.
Le conducteur, un résident du Texas, se cachait près du camion abandonné, mais la police l’a quand même trouvé. Après son arrestation, on a découvert qu’il avait des traces de meth dans le sang. Le conducteur a depuis été accusé de participation à un trafic d’êtres humains mortel. S’il est reconnu coupable, il pourrait être condamné à la réclusion à perpétuité, voire à la peine de mort.
Mardi, deux ressortissants mexicains ont été inculpés en lien avec les migrants retrouvés morts. Les deux sont accusés de tentative mortelle de trafic d’êtres humains et de possession illégale d’armes, selon des documents judiciaires.
Les 53 migrants décédés, tous originaires de pays d’Amérique centrale, ont été découverts par le service américain de l’immigration à la périphérie de la ville de San Antonio, dans le sud du Texas, à environ 250 kilomètres de la frontière mexicaine. La température à cette époque était de 39,4 degrés Celsius. Les autorités ont déclaré qu’il n’y avait ni eau ni climatisation dans la soute où se trouvaient les migrants.