Un bon Bologne fait frissonner Anfield, mais Liverpool gagne avec Mac Allister et Salah


Les Rouges trouvent immédiatement le chemin des filets avec l’Argentin, puis belle réaction des Émiliens qui touchent les montants à deux reprises avec Ndoye. En seconde période, l’ancien Roma termine le match

De notre correspondant Davide Chinellato

2 octobre 2024 (modifié à 23h16) -LIVERPOOL

Plus qu’un voyage récompense. Bologne est vraiment allée à Anfield pour concourir. Ils sont sortis vaincus, 2-0, mais quand Alexis Mac Allister a marqué le premier but à la 11e minute, l’impression était que Liverpool pouvait s’étendre et dominer. Au lieu de cela, l’équipe italienne fait peur aux Reds, frappant deux fois les montants en première mi-temps avec Ndoye et ne se faisant éliminer qu’à la 75e minute par une merveille de Mo Salah, un champion qui réussit un coup de génie. La victoire de Liverpool est finalement méritée, mais les Rossoblu quittent Anfield avec la conscience qu’ils peuvent s’intégrer dans cette nouvelle Ligue des Champions, qu’ils ne font pas partie de ces équipes ennuyeuses contre lesquelles les grandes équipes comme Liverpool s’amusent à marquer de nombreux buts mais un qui a joué à égalité avec l’équipe locale à Anfield pendant presque tout le match.

LES CLÉS

La personnalité et l’organisation sont la meilleure chose que Bologne ait à retenir de ce voyage à Liverpool, envahi par les supporters rossoblu comme s’il s’agissait de la Via dell’Indipendenza. L’Italien a bien préparé le match, l’équipe a eu le mérite de surmonter le choc initial du but des Reds, de se relever non seulement en résistant comme un boxeur acculé, mais en commençant à battre, à effrayer une équipe certes supérieure mais après un démarrage fulgurant, le rythme s’est considérablement ralenti lorsque Bologne a eu des occasions en première mi-temps (en plus des deux poteaux de Ndoye, il y a eu un superbe arrêt d’Alisson sur Dallinga) et a ensuite contrôlé le match sans rien faire pour le clôturer jusqu’à ce que Salah le rappelle. tout le monde pourquoi il est une légende à Anfield. Bologne, en plus de Ndoye et Dallinga, faisait la clarté au milieu du terrain de Freuler. Liverpool, en revanche, était Salah, l’homme du terrain, un phénomène capable d’éclairer le jeu, d’éclairer quand il crée et quand il termine. Mac Allister et Ryan Gravenberch ont également été irrésistibles en première mi-temps, mais ils n’ont pas réussi à changer de rythme en seconde période. Liverpool reste avec la deuxième victoire consécutive contre une équipe italienne lors de la première soirée de Ligue des Champions de la saison à Anfield, fascinant par son ambiance. À Bologne, même s’ils perdent, cela reste un match plein de choses positives, avec lesquelles construire la suite du parcours européen.

LE MATCH

Bologne a rêvé à la 9e minute lorsque Dallinga a battu Alisson, mais la célébration lui est restée en gorge à cause d’un hors-jeu. Liverpool marque pourtant immédiatement après avec Mac Allister, qui profite d’une belle passe décisive de Salah au centre de la surface. Cependant, au lieu que les Reds dominent, le reste de la première mi-temps a été une bonne réaction de Bologne, qui a touché la barre transversale et le poteau mais a commencé la seconde mi-temps avec un score de 1-0. Liverpool contrôle le match mais ne fait rien pour le clôturer, Bologne n’a pas peur mais parvient rarement à mordre. Et puis Salah s’allume, qui à la 75e minute bat Miranda, glisse un tir du pied gauche dans la lucarne et décide que le rêve des Rossoblu d’obtenir un résultat à Anfield peut s’arrêter là, avec une défaite 2-0 contre Bologne, cependant, cela peut prendre beaucoup de choses positives.





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