« Je suis une victime, mais je suis traité comme un agresseur », dit-il. Il y a quatre ans, le bijoutier gantois Filip Moens a abattu un voleur en fuite après l’avoir brutalement tenu, lui et sa famille, sous la menace d’une arme. Le 5 juin, le tribunal correctionnel se penchera sur son sort. Selon le parquet, le bijoutier a été provoqué, mais il est bien responsable de la mort du braqueur. Il risque 5 ans de prison.
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