La construction d’une installation de gaz vert retardée d’un an
GZI Next est le nom du hub d’énergie verte qui sera construit sur le site de l’ancienne usine de désulfuration de gaz déjà démolie le long de la N862. En plus de l’usine d’hydrogène susmentionnée et d’un parc solaire de 11 hectares déjà construit, cela comprend également l’arrivée d’une installation de gaz vert (un projet de Shell, Engie et Energie Beheer Nederland). Dans une telle installation, le fumier, les déchets végétaux et les produits périmés sont transformés en gaz vert par fermentation.
La construction prévue de l’installation de gaz vert était prévue pour le printemps 2023, mais la construction a été reportée au troisième trimestre 2024. Selon la porte-parole d’Engie, Lianne Roza, les calculs d’azote nécessaires ont pris plus de temps que prévu. Engie partait du principe qu’elle ne ferait pas l’objet d’une évaluation environnementale approfondie (étude MER). « En raison d’une décision rendue l’année dernière par le Conseil d’État sur une installation dans le sud du pays, le tribunal a déterminé qu’il s’agissait d’une obligation pour une telle installation », explique Roza. Ce qui a causé un autre retard. Roza s’attend à ce que l’évaluation par le comité EIE soit achevée avant l’été. « D’ici là, nous organiserons également une rencontre avec les riverains.
L’étape suivante consiste à demander les autorisations nécessaires, une décision d’investissement devant être prise au printemps prochain. Dans le cas le plus favorable, la construction démarrera alors à l’été ou à l’automne 2024. Engie estime pouvoir fournir le premier gaz vert à partir de 2026.