La police a reçu un rapport faisant état d’un « conflit domestique » en mars dernier. Un bruit a pu être entendu dans la maison du suspect. Lorsque la police est arrivée, elle a entendu l’homme crier après son chien : « Il devait marcher ». En entrant, ils ont constaté que l’homme avait donné plusieurs coups de pied à son chien. Il a également forcé le bouledogue à traverser une vitre.
Le chien avait la queue entre les pattes, ce qui signifie généralement qu’il se sent anxieux ou peu sûr de lui. Il est également apparu qu’il avait été négligé plus longtemps, car il n’y avait pas d’eau dans son bol d’eau et des excréments d’animaux avaient été trouvés à plusieurs endroits du jardin.
Interdiction des animaux
Aujourd’hui, l’homme de 36 ans devait comparaître devant le tribunal. On lui a immédiatement annoncé qu’il bénéficierait de 40 heures de travaux d’intérêt général. Il écope également d’une peine de prison avec sursis d’une semaine. Il est également devenu clair qu’il n’est plus autorisé à s’occuper de son chien. Le bouledogue est immédiatement confisqué.
Le juge a interdit à l’homme de détenir des animaux pour les cinq prochaines années. Cette sentence est « immédiatement exécutoire », ce qui signifie que l’homme – même s’il faisait appel – doit s’y conformer. Cette mesure n’est prise que si un juge est sérieusement préoccupé par la récidive d’un crime.