Travail intelligent, PA à la croisée des chemins : au Palazzo Chigi, il y a l’application, au ministère de l’Infrastructure tout le monde au bureau


ServiceTravail agile post-urgence

L’adieu aux règles d’urgence n’a pas arrêté le travail agile dans l’administration publique mais la situation change, et beaucoup, d’un bureau à l’autre

par Gianni Trovati

12 juin 2022

L’adieu aux règles d’urgence n’a pas arrêté le travail agile dans l’administration publique, mais il a multiplié les responsabilités de ceux qui les gèrent. Dans un croisement entre la culture managériale et les particularités des bureaux qui produit un kaléidoscope de situations. Les amateurs de travail intelligent peuvent regarder avec satisfaction le cœur de l’AP italienne : le Palazzo Chigi. Où cela semble très bien fonctionner. Il existe même une application « Agile work » qui permet de gérer les accords et le suivi hebdomadaire des activités réalisées à distance (module Z-Timesheet). Une rubrique du nouveau portail « Customer Care » propose également une assistance informatique et organisationnelle.

Beaucoup de créativité numérique est le signe qu’à la présidence, un monde qui comprend également la fonction publique, les affaires régionales, la protection civile, etc., ils croient au travail intelligent. Et les salariés le croient : 66% ont signé l’accord individuel, qui dure typiquement entre quatre et cinq mois et implique en moyenne deux jours par semaine de travail agile, ou un calendrier de planification structuré qui leur permet d’aller plus loin. seuil de jour.

Mais pour trouver une approche résolument plus froide, il suffit de parcourir quelques kilomètres et de se rendre au ministère de l’Infrastructure. Depuis lundi dernier, il a été décidé « de revenir à l’ordinaire en présence des salariés », dans le but de « repenser le nouvel institut » pour l’appliquer « avec une orientation culturelle non conditionnée par la phase d’urgence ». Qui a raison?



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