« Trafiquants d’êtres humains actifs autour d’azc Gilze, inquiétudes concernant les adolescents dans le travail du sexe »

Les signaux de traite des êtres humains à proximité du centre pour demandeurs d’asile de Gilze ne sont systématiquement pas captés. Cela ressort des recherches de l’AD. Les demandeurs d’asile sont des victimes recherchées par des trafiquants d’êtres humains, qui les font travailler pour des salaires de misère ou sous la contrainte.

Toujours dans d’autres centres d’accueil pour demandeurs d’asile aux Pays-Bas et en Belgique, selon la journal observations faites. Les 24 rapports ont été diffusés à l’échelle nationale

centre de coordination contre la traite des êtres humains CoMensha a reçu l’année dernière des informations sur la traite des êtres humains de la part d’azc, selon la directrice-administratrice Ina Hut, ce ne sont que «la pointe de l’iceberg».

De longues journées pour parfois deux ou trois euros de l’heure
À Gilze, les demandeurs d’asile sont pris en charge à l’extérieur du centre dans divers endroits et à des fréquences variables, selon les résidents locaux. Les demandeurs d’asile se retrouvent dans l’agriculture en Belgique et aux Pays-Bas, où ils travaillent de longues journées pour parfois deux ou trois euros de l’heure.

Des intermédiaires les « fournissent » à des entreprises de construction ou de nettoyage. De plus, les (anciens) salariés de l’azc s’inquiètent pour les adolescents, dont certains sont approchés pour le sexe (travail). Cela a également été observé dans d’autres endroits, y compris Oisterwijk.



ttn-fr-32