Tim Hofman provoque invariablement beaucoup de mécontentement parmi les gens avec son attitude. Ses critiques les plus éminents incluent Marcel van Roosmalen et Marc-Marie Huijbregts. «Peu importe ce bordel!»
Ces dernières années, Tim Hofman en est venu à se considérer comme une sorte de boussole morale ambulante, ce qui a suscité de la résistance chez de nombreuses personnes. Même plusieurs célébrités en sont très agacées. « Si vous avez une opinion, chaque fois que vous trouvez quelque chose, nous devons tous la trouver immédiatement », lui a dit un jour Marcel van Roosmalen en direct à la télévision.
Complexe du Messie
La confrontation entre Marcel et Tim a donné lieu à une situation très tendue, car il voulait être pris plus au sérieux que ne le prenait le chroniqueur. Et Marc-Marie Huijbregts ? Il s’est également montré très franc : « C’est un peu comme quelqu’un qui emmène une femme de quatre-vingts ans de l’autre côté de la rue et qui a une érection dans son pantalon. »
Marcel et Marc-Marie sont tous deux convaincus que Tim souffre du complexe du Messie, un état d’esprit qui amène une personne à croire qu’elle est responsable de sauver ou d’aider les autres. « Il préférerait arriver quelque part à Utrecht à dos d’âne avec : hosanna, hosanna. Que tout le monde y traîne.
«Peu importe, putain!»
Quel est le message de Noël de Tim à ces deux critiques ? « L’écrivain Philip Huff a écrit dans un article du CNRC que de telles personnes ont du mal à accepter l’engagement de quelqu’un d’autre. L’indifférence devrait prévaloir chez eux. Je ne m’inscris pas pour ça. Ensuite, vous pouvez me traiter de coquin, de messie ou peu importe, c’est très bien. »
Tim raconte de Volkskrant qu’il en a terriblement marre de ce genre de critique facile, alors qu’il a un message extrêmement important. Contenu important. « Je me demande de plus en plus s’il est possible de lutter contre cette avalanche de fausses nouvelles, cette avalanche de phrases faciles et creuses. »
Position de pouvoir
Il est vrai que Tim aimerait aider les gens, selon ses propres mots, car il est une personne extrêmement puissante. « C’est pourquoi je m’entoure de voix vulnérables. Surtout sur X et Instagram, où je suis des milliers de personnes : des personnes trans, des personnes de couleur, des personnes issues d’une classe socio-économique faible.
Big Tim est là pour tous ces gens. «Je les écoute beaucoup. Je ne sais pas si je le fais toujours correctement, mais en tant que personne en position de pouvoir, je considère cela comme un devoir.»
Bonne décoration
De Volkskrant est un peu cynique quant à la déclaration de Tim contre la guerre à Gaza. « Pourquoi pensez-vous qu’en tant que personnalité publique, vous devriez parler d’une telle guerre ? (…) Vous ne voulez pas faire une jolie décoration ?
Tim sèchement : « Bonne décoration ? (…) Il ne s’agit pas ici de vanité. Je ne dis pas que je ne suis jamais vaniteux, mais est-ce différent pour moi de celui d’un chroniqueur de Telegraaf ? Ou une personne au hasard avec un compte Instagram ou X ? La poussée de dopamine provoquée par les likes ne joue-t-elle pas parfois un rôle pour tout le monde ? Mais encore une fois : ce n’était pas le cas de mon article sur Gaza. »
Mediacourant vous souhaite un joyeux Noël ! 🎄