Tests réussis avec la chute d’objets via des drones


Tests réussis avec la chute d’objets via des drones

Les zones de police sur la côte pratiquent déjà régulièrement le largage d’objets. La chute des gilets de sauvetage aux sauveteurs de plage a également été testée.

« Mais les drones offrent également de nombreux avantages en cas d’incidents et d’urgences en mer », explique le conseiller provincial Kurt Himpe. « Par exemple, des radios, des bouteilles d’eau, des couvertures thermiques, des balises… peuvent être larguées à des endroits où il est trop dangereux d’envoyer des secours. »

Des lacunes dans la loi ?

Mais l’utilisation des drones est encore limitée par les lacunes de la législation. « Accepter des analyses de risques prédéfinies serait d’une grande aide, comme pour l’assistance incendie et la cartographie des accidents de la route. Cela peut être parfaitement enregistré à l’avance et très applicable à tous les services d’urgence sans que chacun ait à faire une analyse de risque individuellement, ce qui prend beaucoup de temps », explique le gouverneur Decaluwé.

« La limitation des vols à une distance maximale de 500 mètres autour d’un pilote immobile est également une lacune. Dans la perspective de l’arrivée de drones avec une plus grande autonomie, il faudrait certes revoir cela et non la distance, mais la hauteur devrait jouer un rôle.



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