Tesla perd 119 milliards d’euros de valeur marchande en une journée, mais ce n’est pas un record : pour ces entreprises, la perte était encore plus importante

Les actions de l’ancien Facebook ont ​​augmenté pendant cinq jours d’affilée, mais un rapport a ensuite été publié montrant que les objectifs prévus pour le premier trimestre ne seraient pas atteints. En plus de cela, est venue la nouvelle que Facebook avait perdu des utilisateurs pour la première fois de l’histoire. Enfin, le PDG Mark Zuckerberg a également dû admettre que Meta pourrait perdre 9,5 milliards d’euros de revenus publicitaires en raison des nouvelles règles du système d’exploitation d’Apple.

La forte baisse est venue un peu à l’improviste alors que d’autres actions technologiques ont progressé. Le PDG Tim Cook n’aura cependant pas versé une larme. Après tout, quelques semaines plus tôt, Apple était devenue la première entreprise américaine à peser 2 000 milliards de dollars, soit 1 680 milliards d’euros. Pendant ce temps, Apple a également (brièvement certes) dépassé la barre des 3 000 milliards de dollars.

À la suite de l’épidémie de Covid-19, le Dow Jones a plongé de 13 %. Microsoft était l’une des entreprises les plus durement touchées à l’époque. Ne vous inquiétez pas cependant : deux semaines plus tard, la perte avait déjà été complètement éliminée.

Une grande partie de la valeur d’Apple est également partie en fumée le même jour. Le PDG Tim Cook venait d’annoncer que tous les Apple Stores fermeraient pendant deux semaines en raison de la menace corona.

Cinq jours après la perte record de 171 milliards d’euros, Apple a déjà reçu un nouveau coup dur. La présentation de l’iPhone 12 était en préparation à l’époque, mais cela ne pouvait clairement pas calmer l’ambiance.

Un tweet d’Elon Musk a fait chuter les actions de Tesla de 12 %. Le PDG avait demandé à ses abonnés via un sondage sur Twitter s’il devait vendre 10% de sa part dans l’entreprise. Finalement, c’est arrivé. Une partie de cet argent est allée aux impôts.

Amazon a réalisé des ventes plus élevées au deuxième trimestre 2021 qu’un an plus tôt, mais les revenus n’ont pas pleinement répondu aux attentes. L’entreprise a été sévèrement punie pour cela.

Les investisseurs craignent qu’Elon Musk vende des actions pour payer son rachat de Twitter. Ils se demandent également s’il lui restera – en plus de Twitter et SpaceX – suffisamment de temps pour s’occuper de Tesla. D’où cette complaisance en bourse. L’entrepreneur américain a mis 41 milliards d’euros sur la table pour le site de microblogging. La perte pour son autre «jouet» est presque trois fois plus élevée.