Temporaire ou permanent ? Le conseil de Tynaarlo divisé sur les maisons sur les terrains de PBH

750 000 euros sont nécessaires pour préparer une partie du site Prins Bernhardhoeve à Zuidlaren à l’arrivée des logements flexibles. Le conseil municipal de Tynaarlo pense que c’est beaucoup d’argent et veut que les maisons soient utilisées même après un certain nombre d’années.

La commune de Tynaarlo doit accueillir cette année 94 titulaires de statut (demandeurs d’asile avec titre de séjour). On est pressé, car l’année dernière la municipalité n’a pas rempli la tâche qui lui a été imposée par la province de Drenthe. 12 titulaires de statut ont été logés trop peu. Ils viendront s’ajouter aux 82 que Tynaarlo a à offrir cette année.

« La pression est donc forte », explique l’échevin responsable Miguel Ririhena (GroenLinks). « Nous devons accélérer et nous demandons donc cet argent pour préparer le terrain pour la construction, bien que nous n’ayons pas encore une idée claire de ce à quoi ressembleront les maisons. »

Au total, cela concerne un maximum de 100 « lits » pour réduire la pression sur le marché du logement à Tynaarlo. Tynaarlo ayant relativement peu de logements locatifs sociaux, la municipalité souhaite désormais construire des logements flexibles. Ceux-ci doivent être placés au dos du site PBH entre 5 et 7 ans.

La commune demande 750 000 euros rien que pour les travaux de construction. À quoi ressembleront les maisons est toujours la question. Ce soir, les «unités de logement» et les maisons individuelles ont été discutées.

Le membre du conseil Henk Middendorp (CDA) se demande pourquoi trois quarts de million devraient déjà être débloqués par le conseil. « Sinon, nous n’obtiendrons jamais les maisons construites avant la fin de l’année », déclare Ririhena.

Gezinus Pieters (VVD) préfère que les maisons – après qu’elles aient servi d’hébergement temporaire pour les titulaires du statut – restent debout. « Ce ne devraient pas être des caravanes raffinées, mais des maisons que nous pourrons ensuite vendre pour une exploitation positive des terres. Sinon, pourquoi paierions-nous 7,5 tonnes pour de telles maisons ? Nous ne sommes pas une municipalité si riche. »

Selon Ririhena, il est difficile d’opter pour la résidence permanente sur le site des flex homes. « Ensuite, vous avez une prise de décision différente et ce n’est pas possible à court terme. C’est pourquoi nous optons pour un logement flexible. »

L’échevin de GroenLinks a supplié le conseil municipal de Tynaarlo de lui accorder sa confiance. « Ensuite, nous pourrons passer à autre chose. Si nous n’atteignons pas notre objectif, la province prendra en charge la gestion. Ensuite, ils désigneront des maisons et cela signifierait que les gens de notre municipalité qui attendent depuis longtemps une maison locative auront attendre encore plus longtemps. »

Dans deux semaines, le logement flexible à Zuidlaren sera à nouveau discuté.



ttn-fr-41