Télé douloureuse : Meilandjes mis en place par une dame qui est vraiment sur l’aide sociale


Les critiques le ressentent partout : Château Bijstand peut très mal tourner pour les Meilandjes. Que rire de la pauvreté en 2022 n’est vraiment plus amusant, a été montré hier dans le talk-show HLF8.

© HLF8

Les Meilandjes sont venus hier dans le talk-show de Johnny de Mol pour promouvoir leur nouvelle émission d’assistance amusante Chateau Bijstand. Juste avant cela, deux dames étaient assises à la table – l’une sur l’aide sociale, l’autre sur les prestations d’invalidité – qui sont extrêmement préoccupées par la hausse bizarre des prix de l’énergie.

image douloureuse

Grietje Bouw (photo ci-dessus) et Hanny Heuvelink (photo ci-dessous) ont expliqué en détail à Johnny à quel point la situation est actuellement difficile pour les bénéficiaires de prestations. Hanny ne l’a pas gardé au sec. Moins de dix minutes plus tard, ses larmes ont cédé la place aux hurlements de Meilandjes. Ils se sont juste moqués de ce problème pendant un mois.

Une image vaut mille mots : quand Johnny montre un extrait de Chateau Bijstand dans lequel Martien et Maxime hurlent à propos de la « maison d’assistance » dans laquelle ils entrent (« Oh comme c’est petit !!! Oh comme c’est mauvais !!! »), le premier plan Grietje ayant droit à des prestations d’invalidité sur la photo. Son visage en dit long : ce n’est pas quelque chose pour les allocataires sociaux.

« Oh, comme c’est petit ! »

Dans le fragment en question, Maxime et Martien se rapprochent de leur « maison d’assistance ». Eh bien, c’est comme ça que SBS 6 l’appelle : en réalité il s’agit d’un logement du secteur privé à 1 750 euros (!) par mois. « Oh, c’est tout petit ! » hurle Martien. Maxime : « Oh comme c’est petit ! »

Par souci d’effet, Talpa a rendu cette maison du secteur privé tout aussi belle et sale à l’intérieur. Martien : « Oh, qu’est-ce qu’il y a par terre ? Oh, c’est de la moquette. Oh oui, non, ce n’est pas bon. Oh fille, c’est sale. » Erica: « Oh, c’est mauvais. »

Ensuite, les Meilandje sont dans le salon normal de la maison unifamiliale, qui compte au total près de 100 mètres carrés. Martien : « Oh comme c’est petit ! » Erica: « Oui, mais c’est comme ça que les maisons étaient alors. » Martien en cuisine : « Oh que c’est mauvais ! Il y a de l’eau.

Hany abasourdi

Grietje ne peut pas encore sourire quand passent les images des Meilandjes hystériques. La très riche famille TV n’a clairement aucune idée que la plupart des Néerlandais vivent dans ce type de maisons mitoyennes. Johnny édifiant à Martien : « Oui, mais ce qui est petit pour toi peut être un palais pour quelqu’un d’autre ! »

Hanny à voix haute : « Oui ! »

Martien à Hanny : « Oui, c’est possible, mais oui, c’était bien sûr toute la transition pour nous, de : go do it ! Eh bien, nous avons réussi, n’est-ce pas ? »

Éléphant dans la chambre

Johnny s’en tient à une question semi-critique : « Laisse-moi (…) nommer l’éléphant dans la pièce. Nous venons bien sûr d’entendre cette histoire et vous entrez dans cette histoire. N’est-ce pas un peu serré quelque part ? »

Erica Meiland : « Oui, bien sûr. Nous ne l’avons fait qu’un mois. C’est bien sûr très différent de quand vous y êtes depuis des années. C’est bien sûr clair. Quoi qu’il en soit, nous nous sommes bien sûr engagés auprès d’associations caritatives et il est également important d’attirer l’attention sur elles. Nous venons vraiment de le vivre.

Martien : « C’était naturel pour nous de passer de la vie luxueuse de Noordwijk à Uithoorn. Eh bien, alors vous êtes arrivé dans cette toute petite maison. C’était ma plus grande préoccupation. Avec cet argent, j’ai pensé : eh bien, nous verrons. Mais ce petit salon avec trois adultes et deux enfants et deux chiens… »

Et la co-animatrice de Johnny, Britt Dekker ? Elle a sagement gardé sa bouche fermée. Également de SBS 6.

compte à rebours

En vain Johnny essaie de trouver une couche plus profonde avec les Meilandjes : « Comment te sens-tu, Erica ? »

Erica: « Eh bien, en fait, tu es vraiment contente d’être de retour à la maison. Vous avez juste. Vous comptez un peu.

Merveilleux, compte à rebours les jours jusqu’à ce que vous puissiez retourner à votre vie de luxe. Hanny et Gretel ne peuvent qu’en rêver. Hanny : « Grietje et moi et beaucoup de gens avec nous devons penser chaque jour et penser chaque jour devant cette boîte aux lettres : ‘S’il vous plaît, ne claquez pas.’ Quel genre de destin tombe à l’intérieur? Nous n’avons pas de tampon.

« Tu ne peux pas travailler ? »

Puis un autre fragment est commencé : Erica et Martien marchant dans la friperie. Ils voient un canapé. « Sentez-le », dit Erica, comme si les gens qui peuvent faire leurs courses à la friperie ne pouvaient que marquer des trucs sales.

La vie sur l’aide sociale n’est vraiment pas une question de rire, selon Hanny : « Chaque jour, du lever au coucher, nous devons être occupés avec : puis-je me débrouiller aujourd’hui ? Puis-je laver? Oui, je peux laver, mais je ne peux plus passer l’aspirateur en termes d’énergie. Je n’ai pas du tout de sèche-linge.

Martien pointant du doigt : « Mais n’est-ce pas Hanny, parce que tu articules très bien tout… Tu ne peux pas commencer à travailler à temps partiel ou quelque chose comme ça ? »

martien

Martien dans son ‘petit salon’ :

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Réactions

Les réactions sur les réseaux sociaux sont cinglantes :



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