L’Iranien a marqué lors du match d’entraînement du premier jour de la rencontre. Plus de 200 objectifs de carrière. Inzaghi attend beaucoup

Journaliste

14 juillet – 10h33 -MILAN

Monsieur 200 buts ont rempli le vestiaire et aussi le terrain : lors de sa première sortie en tant que joueur de l’Inter, lors du match d’entraînement de la première séance d’entraînement de la saison, Mehdi Taremi a marqué un but. Ok, c’est le football d’été, c’était le premier jour de travail, la toute première équipe présente à Appiano se comptait sur les doigts d’une main, mais le tout premier impact a répondu aux attentes et c’est ce qui compte aujourd’hui.

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Simone Inzaghi espérait embrasser un attaquant prêt à l’emploi pour son Inter avide de nouveaux succès et Taremi s’est présenté de la meilleure des manières. Le reste viendra tout seul : il y a toute une pré-saison pour faire connaissance avec ses coéquipiers, assimiler les principes de jeu du coach et s’intégrer dans l’équipement presque parfait d’avant. Taremi a étudié, étudie et étudiera : lorsque Marcus Thuram et Lautaro Martinez rejoindront le groupe, dans les dernières semaines de travail, Mehdi les accueillera comme l’un des siens. Autrement dit, une entrée supplémentaire.

capital

En attendant, l’Iranien s’efforcera d’ajouter plus de buts au panier déjà riche de l’attaque nerazzurri. Taremi en apporte 202 en cadeau, répartis entre l’Iran, le Qatar et le Portugal, et les prochains, ceux qu’il marquera avec le scudetto sur son maillot, s’ajouteront à ceux de Lautaro, Thuram et Arnautovic : l’Inter a un capital de plus de 350 entre ses mains des réseaux destinés à se développer. Aussi parce que Taremi ne s’est pratiquement jamais arrêté devant le but : sa carrière a été une ascension, du Moyen-Orient au football de haut niveau, ponctuée de buts qui ne manquaient jamais et qui se suralimentaient à chaque fois que Mehdi changeait d’équipe. Les buts marqués sous le maillot de Porto – 91 en quatre saisons, dont une dizaine en Ligue des Champions – ont poussé l’Inter à bondir l’hiver dernier, brûlant la compétition : le sens du but et la flexibilité de l’Iranien ont mis tout le monde d’accord, d’Inzaghi à Marotta et Ausilio. Et le contrat de trois ans de 3 millions nets par saison, officialisé hier par le club Nerazzurri, est la marque de qualité qu’ils ont collée à Taremi à Viale della Liberazione : « C’est un rêve devenu réalité – a déclaré l’ancien joueur de Porto -, le La meilleure chose de ma vie, je sais que je suis le premier Iranien de l’histoire de l’Inter et j’en suis très fier, je sais que je dois marquer et faire des passes décisives. Il s’agit de gagner le plus de matchs possible, nous devons nous concentrer. sur cet objectif et tout donner pour l’atteindre, je ferai de mon mieux.

forme ok

Quant à ce qu’il a donné lors de ses premières heures comme Nerazzurri, vécues sous les yeux d’Inzaghi et de la direction – hier le président Marotta, le directeur sportif Ausilio et son adjoint Baccin étaient présents – voici les moments forts : un grand enthousiasme, évidemment partagé avec les supporters qui accueil avant et après l’entraînement d’hier, forme physique enviable (les premiers tests ont donné d’excellents résultats), disponibilité totale aux demandes d’Inzaghi. Et de s’installer au plus vite : Taremi étudie l’italien, il ne le parle pas encore mais il le comprend déjà et surtout il se fait comprendre sur le terrain. Dans les vestiaires, il y a évidemment ceux qui l’aident à communiquer : Mkhitaryan, sénateur présent au rassemblement d’hier, est au premier rang.

prince

La mission de l’Iranien est claire : marquer, peut-être immédiatement car Inzaghi aura besoin de lui dès ses débuts en championnat, le 17 août contre Genoa, et continuer ainsi tout au long du marathon de matches qui attend l’Inter. Les chiffres disent que oui, Taremi est un attaquant à deux chiffres, et qu’avec lui et les deux attaquants du Scudetto, l’Inter peut compter sur trois attaquants à deux chiffres dans un seul championnat : cela ne s’était pas produit depuis 20 ans. C’était l’époque d’Adriano, Bobo Vieri et Martins : en 2004-05, le trio a terminé avec respectivement 16, 13 et 11 buts marqués en Serie A. Trois attaquants venus de trois continents différents, à l’image de ceux qui sont désormais prêts à entraîner l’Inter. à un deuxième championnat : la suggestion est fascinante, et ce n’est pas la seule. Dans l’interview accordée aux chaînes officielles du club, interrogé sur un éventuel surnom à suggérer aux supporters de l’Inter, Taremi a répondu qu’à Porto, on l’appelait « Prince of Persia ». Il y a déjà eu un Prince à l’Inter : si le Persan suivait les traces de son collègue Diego Milito, la saison la plus longue de tous les temps risquerait sérieusement de devenir la plus belle…





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