« Il ne m’écoute que parce que je le paie », « Si je m’ouvre, qui sait ce que je vais découvrir », "J’ai besoin de vacances, pas de quelqu’un qui m’écoute". Ou encore « Mais bien sûr, je ne suis pas fou ! ». Ou: "Même si je le voulais, je ne pourrais pas changer". Ce sont là quelques-uns des nombreux clichés encore répandus sur la psychothérapie. Danila De Stefano, PDG et fondatrice d’Unobravo, explique pourquoi cela vaut vraiment la peine de les enlever les unes après les autres

Nicoletta Parvis, avocate, défend les femmes victimes de violences et collabore avec l’ONG WeWorld. Tout a commencé lorsqu’une de ses amies, instruite et riche, s’est présentée dans son studio, désespérée. Elle a compris depuis que les violences basées sur le genre sont transversales. Et que les victimes, bien que différentes les unes des autres, ont en commun le manque d’estime de soi