En Italie, nous sommes au point mort, malgré de nombreuses propositions au cours des 50 dernières années. Pourtant, la recherche scientifique montre que l’éducation affective contribue à prévenir la violence sexiste. À condition que cela ne se contente pas d’informer, mais qu’il implique des émotions. Et n’oubliez pas un mot qui semble tabou aujourd’hui : la sexualité

Il existe des sujets qui ne nécessitent pas de filtres, comme la sexualité. Ainsi les réseaux sociaux, avec leur anonymat, deviennent des tables rondes d’« éducation sexuelle », ouvertes à tous. Essayer, avec de nouvelles langues, d’enseigner des valeurs

Pour plus de la moitié des adolescents italiens, Internet constitue la principale source d’information sur les questions de sexualité. Une éducation sexuelle médiocre et inexacte peut également avoir des répercussions sur la santé reproductive future.