Bioplastiques hydrosolubles, capteurs qui surveillent la santé des plantes, cellules de fruits améliorées : telles sont les dernières lignes de recherche des nouvelles start-up bio dirigées par des femmes. Un secteur qui a un grand potentiel en Italie mais qui doit encore être reconnu et financé. Mais certains investisseurs sont déjà en première ligne

Dans les îles Svalbard, entre la Norvège et le pôle Nord, une jeune biologiste, Tessa Viglezio, est responsable de la station de recherche du CNR « Dirigibile Italia ». En collaboration avec des chercheurs du monde entier, il étudie l’impact du changement climatique dans l’Arctique.