Dans les années 1920, la nation Osage, habitée par des Amérindiens, fut envahie par des Blancs impitoyables attirés par le pétrole. Le film est une descente aux enfers de l’immoralité, dans un Occident sans règles où les sentiments sont piétinés par l’avidité.

Matteo Porru avec "La douleur crée l’hiver" – son quatrième roman à tout juste 21 ans – nous entraîne dans une grande métaphore existentielle de l’oubli et du calcul. Le protagoniste absolu est la neige qui submerge la vie des habitants désorientés, envahie et corrodée par le silence et la blancheur qui isole les pensées et les condamne à l’apathie