Selon l’Istat, environ 50 % des enfants de femmes victimes d’abus sont témoins d’actes de violence, tandis que 10 % en subissent. Cela laisse sur eux des marques indélébiles, qui peuvent compromettre leur développement physique, cognitif et comportemental. D’où la campagne « La violence n’est pas un jeu » : un message d’attention envers les drames domestiques cachés, l’envers de la violence contre les femmes.

« J’ai un enfant doué, hourra » ? Non, ce n’est pas si facile. Les parents d’enfants à haut potentiel cognitif ont souvent du mal à voir la fatigue en se concentrant sur eux-mêmes "exploits" de leurs enfants. Mais la composante relationnelle est une pierre d’achoppement pour ces enfants. Et il n’est pas rare que des malaises cachent un TSA ou un trouble du spectre autistique. Un petit guide pour essayer de comprendre