Szczesny : "Je vais bien maintenant, j’ai juste un peu peur. J’avais bien vu Perin à l’entraînement…"

Le gardien souriant à la fin du match : « Un peu d’angoisse, quelque chose qui ne m’est jamais arrivé, j’avais aussi du mal à respirer, mais j’ai juste fait les vérifications et tout va bien ». Puis le duo avec Perin : « Dans le final il a fait un double miracle… mais ils le lui ont lancé »

« Je vais bien ». Tek Szczesny apparaît à la fin du match devant la caméra de Sky avec un très large sourire et un bras autour du cou de son collègue et ami Mattia Perin qui déclare : « C’est la première chose que j’ai demandée en rentrant. Comment vas-tu ? ? ». Et le gardien polonais a rassuré tout le monde : « Je vais bien, un peu anxieux mais je viens de faire les vérifications et tout va bien. Que s’est-il passé ? La peur, quelque chose qui ne m’était jamais arrivé, j’avais même du mal à respirer. peu d’anxiété et de peur, mais maintenant je vais beaucoup mieux ».

Les compliments

Tek va assez bien, avec un grand sourire attaché, pour redevenir lui-même et ajouter : « La vérité est que j’ai très bien vu Mattia à l’entraînement… En fait, il a ensuite réalisé ce double miracle en finale ». Poursuivant ensuite : « C’est simple, ils lui ont jeté dessus ! ». Et Perin de répliquer : « Comme il dit, il faut être doué pour se le faire jeter dessus ». Szcznesny reprend : « J’ai félicité Mattia, je suis très content pour lui car c’est un golden boy, il ne se plaint jamais. « .

Le groupe

Mot à Perin aussi pour expliquer la gestion mentale d’une saison bien particulière : « Je pense qu’on voit aussi sur le terrain qu’il y a une synergie incroyable entre nous gardiens, chacun aide à élever le niveau de l’autre, même Pinsoglio – » ci-dessus tous Pinsoglio », ajoute Szczesny hors du terrain -. Nous sommes prêts à plaisanter mais aussi sérieux, et cette synergie du groupe de gardiens est la même que celle du groupe d’équipe : exceptionnelle dans les difficultés que nous connaissons tous, bonne à ne pas tomber dans la victimisation et les faux alibis, on a montré qu’on était une équipe d’hommes, il faut continuer. Avec le Sporting, la première mi-temps est finie, pour ainsi dire, on peut être content mais il faut se confirmer. Rien à ajouter pour Szczesny : « Je ne suis pas là pour parler, je suis juste magnifique ». Et la frayeur qu’il a prise, et qu’il a fait prendre à tout le monde, devient très lointaine.



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