Steven a violé un enfant – Un message choquant a été divulgué à son sujet


Steven van de Velde s’exprime aux Jeux olympiques.

Steven van de Velde ne réside pas au village olympique à sa demande. AOP

Gardien a obtenu un e-mail envoyé par le Comité olympique néerlandais, dans lequel le comité défend Steven van de Velde, reconnu coupable de viol d’enfant.

Le joueur de beach-volley a été condamné à quatre ans de prison pour le viol d’une fillette de 12 ans en 2016, après avoir reconnu trois chefs de viol sur l’enfant. Il n’a finalement purgé qu’un an de sa peine.

Selon le Guardian, un Britannique inquiet qui vit aux Pays-Bas a envoyé un e-mail au comité olympique du pays, qualifiant l’inclusion de van de Velde aux Jeux de tache sur l’équipe nationale néerlandaise.

En outre, l’homme a qualifié van de Velde de « violeur ».

– Steven n’est pas un pédophile. Pensez-vous vraiment que nous enverrions quelqu’un qui présenterait un risque ? Non, il ne représente pas un risque, a écrit le Comité olympique néerlandais dans sa réponse.

L’homme s’est dit choqué par la réponse du comité.

Van de Velde jouera sa paire dimanche par Matthew Immers avec. A la demande de Van de Velde, il ne réside pas au village olympique et ne donne pas d’interview aux médias.

Parler

La possibilité de participation de Van de Velde dépend de la décision de l’Association néerlandaise de volleyball et du Comité olympique du pays.

PDG du Comité olympique finlandais Taina Susiluoto a déclaré à Iltalehti que le comité dispose d’un dossier qui lui permet de refuser la participation d’un athlète aux Jeux olympiques si une affaire pénale est en cours.

– Nous avons la possibilité de ne pas envoyer un athlète, même si les critères sportifs sont remplis, a-t-il déclaré et a poursuivi :

– C’est bien que personne ne soit surpris que s’ils se soient mal comportés, nous ayons la possibilité d’intervenir pour décider s’ils seront élus ou non.

Selon Susiluoto, il est bon qu’il y ait eu une grande discussion sur la sélection de van de Velde.

– De nos jours, le sport est si visible et public qu’on ne peut pas supposer qu’on puisse sortir d’une telle situation. Si vous reprenez le sport après ce type de situation, vous devriez alors pouvoir vivre avec cette discussion critique, explique Susiluoto.

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