SP Oss s’effondre : une partie de la fête continue en tant que Socially Strong Oss

La faction SP au sein du conseil municipal d’Osse s’est effondrée. Le chef de faction et quatre membres du conseil resteront au conseil municipal sous le nom de Sociaal Sterk Oss. Oss est connu comme le « berceau du SP ». Le parti a été fondé dans les années 1970 par Jan Marijnissen d’Oss. Il a longtemps été chef du parti et a joué un rôle crucial dans la montée nationale du PS.

« Ces décisions m’ont coûté des efforts et m’ont blessé, mais dans les circonstances actuelles, je ne vois pas d’autre choix que de dire au revoir au parti auquel j’ai pu contribuer pendant 50 ans », déclare le chef du parti Jan Zoll.

Avec les conseillers Bas van der Voort, Marie-Thérèse Janssen, Marja van Lith et Jelle van der Vliet, il s’est séparé de son parti. Cinq anciens membres du SP continuent sous le nom de Sociaal Sterk Oss. Les membres du conseil veulent s’engager en faveur de soins accessibles, de logements de qualité et d’installations accessibles dans les districts, les quartiers et les centres.

Berceau du SP
Oss est appelée le berceau du SP, car le parti y a été fondé en 1972 et a remporté ses premiers succès politiques. Mais ces dernières années, il y a eu un nombre croissant de « luttes et de désaccords constants » au sein du PS sur « qui nous sommes, ce que nous voulons et comment y parvenir au mieux ». «Ces dernières semaines, la coopération au sein de notre département Osse SP a complètement déraillé», déclare Zoll.

La goutte d’eau qui a fait déborder le vase a été une motion déposée jeudi dernier concernant les projets de démolition à Osse Roofvogelwijk. «Cette motion ne serait pas soumise», déclare le conseiller Bas van der Voort. « Nous avons été vraiment mis dans l’embarras par Leroy Vossenberg, membre du groupe. »

L’ancien chef du parti Zoll ajoute : « Malgré l’opinion de la majorité du parti, Leroy Vossenberg a insisté pour présenter diverses propositions au nom du SP. Cela a donné lieu à des disputes houleuses et à des propos menaçants de la part de Leroy envers les autres membres de la faction. Cela s’est répété dans les réactions au sein du groupe WhatsApp de notre conseil départemental.

Leroy n’était pas au courant de ce projet jusqu’à l’annonce de la scission par les membres de son parti. Il n’était pas non plus disponible pour commenter lundi soir.



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