SP Assen interroge les résidents sur leurs expériences avec l’aide à la jeunesse

Le SP d’Assen a mis en place une hotline d’assistance aux jeunes. Les socialistes veulent savoir comment les habitants d’Assen vivent la prise en charge des jeunes et comment cette forme de prise en charge pourrait être améliorée. À Assen, plus de 14 % des enfants et des jeunes bénéficient d’une forme ou d’une autre d’aide à la jeunesse. Cela fait de la capitale le chef de file de la province.

L’intention de la hotline est que les résidents et les experts de l’expérience partagent leurs histoires, afin de découvrir ce qui va bien et où se trouvent les goulots d’étranglement dans l’aide à la jeunesse.

La présidente du groupe, Jannie Drenthe, espère recueillir autant d’histoires différentes que possible. « Toutes les histoires sont les bienvenues. Donc, tous ceux qui travaillent pour une organisation, mais aussi les personnes qui y sont impliquées d’une manière différente. Par exemple, les parents, les jeunes ou les enfants. Nous appelons tous ceux qui ont quelque chose à dire à raconter une histoire. . »

Les histoires recueillies seront regroupées dans un livre d’histoires dont le PS discutera au conseil municipal et au collège. « Cela nous aide à faire des ajustements si nécessaire, afin que les jeunes d’Assen méritent l’aide dont ils ont besoin et la reçoivent dans le bon sens. »

La fête du collège a découvert qu’elle concernait 2 555 enfants et jeunes et appelle les habitants à partager leurs histoires, de manière anonyme si nécessaire. Un formulaire peut être rempli via le site internet du SP Assen. « De cette façon, avec les parents, les jeunes, les enfants et les professionnels, nous espérons faire en sorte que seuls les soins utiles soient déployés et que le nombre d’enfants bénéficiant d’un accueil des jeunes dans la commune d’Assen diminue », déclare Drenthe.

Selon le SP, les histoires ne sont pas partagées avec les autorités concernées.



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