Péninsule
Selon Baars, cela rend le Kop van Noord-Holland moins dépendant des A7, A8 et A9 déjà très chargées. « Nous sommes essentiellement une péninsule, reliée par trois entretoises assez serrées. Il suffit que quelque chose se passe et nous sommes plats. »
Cela offre également de nombreuses opportunités à la région, souligne-t-il. « Ensuite, il faut penser à la construction de logements, à l’expansion des ports et des zones industrielles et à une nouvelle nature. Cela conduit également à l’emploi et à une connexion plus sûre. »
Une longue respiration
La connexion du Westfrisiaweg au Houtribdijk dépend du soutien européen. Le « projet de prestige » de la Frise occidentale devrait coûter des millions d’euros. Outre le fait que les provinces de Hollande du Nord et de Flevoland doivent s’y joindre, il faut également faire du lobbying à Bruxelles. « Cela n’a de chance de réussir que s’il bénéficie d’un large soutien », estime Baars.
Selon la province, le plan est à nouveau à l’agenda politique. « Nous connaissons les souhaits et nous les comprenons », a déclaré un porte-parole. « Mais ce n’est pas le seul projet à aborder en Hollande du Nord. Nous devons prendre une décision : quelles sont nos ambitions ? Et que faut-il faire ? »
Le statut du Flevoland, qui gère la route sur la digue, n’est pas connu.