Sirènes françaises pour Thiago Motta, après le PSG il y a aussi Nice

Le dossier de l’entraîneur de Bologne sur la table de Blanc, auquel il est lié depuis le début en tant qu’entraîneur. Il serait un acteur clé du projet de relance du club galaxie Ineos

Pas seulement le PSG. Nice bouge aussi sur Thiago Motta. Et ce ne serait qu’une réduction des effectifs à première vue, quitte à respecter Bologne. Le club azuréen appartient au milliardaire Jeff Ratcliffe, candidat au rachat de Manchester United. L’entraîneur de Bologne, sous contrat jusqu’en 2024, pourrait donc disposer d’importantes ressources pour développer un projet ambitieux confié à un manager qui le connaît très bien.

Déposer

En effet, Jean-Claude Blanc dirige désormais le groupe Ineos qui a quitté en début d’année la direction générale du PSG, qu’il dirigeait depuis l’aube de l’ère du Qatar, pour s’installer à Nice. Dans son bureau de Monte-Carlo, Blanc a également amené le dossier Motta qu’il suit depuis l’arrivée de l’Italien-Brésilien à Paris en janvier 2012. Il a alors supervisé les différents renouvellements et le premier contrat d’entraîneur, à la tête des Under 19. Et avec Motta, Blanc a toujours eu une excellente relation. Pour l’instant, cependant, il n’y a pas eu de contacts directs avec le directeur sportif Ghisolfi, même si dans les prochains jours, Nice compte accélérer, en proposant un plan qui comprend des investissements importants et une politique de valorisation des jeunes talents.

Entraîneur

Aussi parce qu’en attendant, Motta reste sur la short list de Nasser Al Khelaifi, le président du PSG qui l’a toujours considéré comme son futur entraîneur. Dès ses débuts avec les équipes de jeunes parisiens. Motta faisait déjà partie des candidats au banc du club de la capitale avant le choix de Pochettino et Galtier. Cette fois, le PSG pourrait le considérer comme le bon entraîneur pour remettre de l’ordre dans le vestiaire, imposer discipline et règles sans crainte aucune aux différentes stars, donner à l’équipe une identité de jeu précise, dans un environnement qu’ils connaissent parfaitement. Mais le dernier mot appartient à l’émir, qui avait donné à Motta le surnom de « coach » (le « monsieur » italien), mais qui n’a pas encore renoncé à convaincre Zidane. En arrière-plan, les autres candidats, de Mourinho à Nagelsmann.



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